Le pari de « Un peu, beaucoup, à la folie »

Un Peu, Beaucoup, à la Folie met en avant un modèle de production à petite échelle, permettant aux créateurs d’événements d’acheter directement au producteur sans passer par un autre intermédiaire. Cela nous permettra de diviser par 10 l’impact CO2 de chaque composition. Les fleurs locales seront mises à l’honneur par la confection de compositions constituées des plus belles fleurs offertes par la saison actuelle, cueillies à maturité.

Cette production s’adresse principalement au secteur du mariage, avec des variétés sélectionnées sur la base de mon expérience et dans le but de satisfaire au mieux les demandes des futurs mariés. 

Notre production



La culture se fait sans aucun pesticide, avec des produits naturels, nous utilisons des substrats et engrais naturels, et travaillons à un système de récupération de l’eau.

La récolte est faite tige par tige lorque les fleurs sont à maturité. Elles prennent place dans la décoration des événements : bouquet de mariée, centre de table, arche  de cérémonie… sous la forme de composition vaporeuses et légères. 

Nous proposons également la location de plante et de fleurs séchées comme alternative pour les futurs mariés qui souhaiteraient opter pour des décorations durables dans le temps.

Les contenants et vases sont le plus souvent en verre recyclé ou issu de l’économie circulaire. Ils sont mis à la disposition de nos clients et réutilisés sur de nombreux événements. 


Les conséquences d’une globalisation à outrance


La production des fleurs à l’étranger et leur transport ont un impact environnemental incontestable . Il s’agît d’une véritable industrialisation des végétaux et la concurrence entre pays producteur est non seulement une aberration écologique car on trouve de toutes les variétés à tous moment de l’année mais c’est aussi une aberration économique puisque 40% des horticulteurs ont disparu de notre territoire. Pourtant la France était tout à fait à capable d’assurer sa propre production sans avoir besoin d’importer.

Par ailleurs, malgré les traitements, le délais entre récolte et utilisation est long, la durée de vie des produits sur le marché français est fortement écourté. Les consomateurs ont à leur disposition des fleurs dont la qualité est médiocre et en plus perdent peu à peu la notion des fleurs de saison. 

C’est sur ces points précis que je souhaite réagir, et porposer des solutions à ceux qui veulent faire baisser l’impact environnemental des événements qu’ils organisent tout en favorisant la renaissance des produits de qualité. 




Le « Slow Flower », produire au rythme de la nature

7 Français sur 10 disent préférer les fleurs locales. Inspiré du mouvement « Slow Food » qui milite pour une agriculture responsable, « Slow Flower » est né aux Etats-Unis au milieu des années 2000 promouvant la culture responsable des fleurs, et mettant à l’honneur la production à petite échelle et la commercialisation en circuit court de fleurs de saison. Et oui, comme pour les fruits et légumes, il est temps de suivre le calendrier des fleurs de saison et de prendre part au mouvement.

Avantage pour le consommateur = des fleurs coupées bien plus fraîches, plus durables avec 0% de pesticides ! 


« C’est en croyant aux roses qu’on les fait éclore »
Anatole France